Le 19 février 2025
- Dominique Allaire❤
- 19 févr.
- 2 min de lecture

❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤
La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos du monde où vivent ceux que nous aimons. Pourquoi pleurons-nous toutes les larmes de notre corps, quand nous croyons des histoires de séparation et de mort? Parce que ce n’est pas vrai. Croire une fausseté cause cet effet. Parce que l’amour ne meurt pas.
Tout comme la vie, il est toujours là, au même endroit. Dans notre cœur.
Qu’on l’appelle la matière ou la lumière, ici ou ailleurs, ce lieu sans contour ni fond abrite tous les êtres qui nous sont chers.
Pour ma part, il inclut mes parents, ma famille, mon conjoint, mes amis, mes voisins, mes clients, mes collègues, ma fille adorée et, même, le fils qu’elle a été.
Même si des événements aussi naturels que la fin d’un corps, d’une relation, d’un contrat ou d’une expérience semblent nous avoir distancés de ceux et celles que nous aimons, ce n’est pas parce que nous ne pouvons pas les voir ni les entendre comme avant, qu’ils sont absents pour autant.
J’en ai eu la preuve concrète en 2005, durant un atelier à San Francisco. J’avais pour exercice d’écrire dix défauts et dix qualités de ma défunte maman et de décrire où je faisais pareil.
Après six heures (et douze ans à me blâmer d’avoir été en voyage à l’extérieur du pays lorsqu’elle est décédée), j’avais réussi à équilibrer mes jugements envers maman. J’ai su que mon labeur avait porté fruit, quand j’ai senti toute ma peine, ma colère et ma culpabilité s’évaporer de mon esprit.
L’absence s’est transformée en présence. Soudain, toute distance entre nous avait disparu. J’ai compris que la mère que j’ai connue est celle que j’ai imaginée avec mes pensées. Elle vivra tant que je lui prêterai vie. Depuis cet instant que j’aime appeler «mon pouf dans la lumière», ma mère et moi ne faisons qu’un.
Dans notre cœur, nous ne faisons qu’un avec ceux que nous aimons.
Et même lorsqu’il nous arrivera de l’oublier et de pleurer encore parfois, c’est réconfortant de savoir que ce sont des pensées de mort qui nous séparent de nos trésors. Et que ce sont des pensées de vie qui nous font voir, sentir et toucher qui l’on veut, quand on en a envie, jour et nuit.
Alors, qu’on soit dans la matière ou la lumière, dans l’au-delà ou ici, pour le cœur qui aime, tous ces mondes sont le même.
L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Vous aimez ce que vous avez lu? Merci tellement de partager votre point de vue et continuons de pratiquer la pensée consciente!
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