❤ PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤
La pensée d’aujourd’hui nous rappelle des dictons qui ont raison. Tout part de soi. Tout parle de soi. Tout se passe en soi. Tout se pense en soi. Et celui-ci «Je pense donc je suis» ou, comme j’aime le préciser, «Je suis ce que je pense.» En fait, on vit les effets des pensées que l’on croit en ce moment précis. Et ce moment est tout ce que l’on vit. Les pensées qui nous font sentir mal sont celles qui jugent en mal ce qui est fait et qui nient ce qui est vrai pour nous.
Je les connais bien, les petites chéries. Les pensées blessantes imaginent un monde où le malheur existe. Elles transforment une situation en drame pour me garder prisonnière de leur monde imaginaire. Je me déconnecte de la douceur de ce moment, le seul que je vis vraiment, quand je les crois. La douleur que je ressens m'invite à me réveiller de leur cauchemar imaginé.
Prenons la pensée : «Mes sœurs m’ont rejetée.» Je l’ai longtemps crue, elle et ses complices «Tout est de ma faute. Je suis seule au monde. Personne ne m’aimera jamais. Je veux mourir.» Vous les reconnaissez? Même si j’avais vécu une seule fois ce fait interprété comme du rejet, je m’en suis fait revivre les effets des dizaines de fois par jour, juste à y penser. Faire la paix avec ces pensées m’a pris des années. J’y suis arrivée en revenant à la réalité, là où la faute et le rejet n’existent pas. Là où tout est connexion... sans exception.
J’ai longtemps réfléchi avec ces pensées blessantes. Je les ai ramenées une par une dans ma réalité bienveillante. J’ai reconnu les faits. Mes sœurs étaient stressées à l’idée de me revoir. J’étais stressée à l’idée de les revoir. C’est vrai. Nous étions toutes d’accord. Il valait mieux ne pas nous revoir… pour le moment. Dans mon monde, la distance n’existe pas. Ne pas se voir ne veut pas dire qu’on ne s’aime pas. L’amour n’a besoin de rien pour aimer. Il aime, point. Seules les pensées ont besoin de preuves dans leur monde imaginé.
C’est vrai que je suis seule… et que je ne suis pas seule avec mes pensées. C’est vrai que personne n’a besoin de m’aimer. Je suis amour. Je suis responsable... d’aimer mes pensées. Le seul moyen de ne pas aimer, c’est de croire les pensées qui me déconnectent des autres et de moi-même. C’est vrai que je veux mourir… quand je crois cette pensée. La douleur que je ressens m’aide à revenir à ma douce réalité. Même si je l’oublie souvent, cela me détend de saisir à quel point les pensées qui me font sentir mal m’aident à me sentir bien.
Tout dépend de soi et des pensées que l’on croit. Nous prêtons vie aux pensées au moment où nous les croyons. Celles auxquelles nous sommes attachés s’appellent notre réalité. Elles nous quittent au moment où nous ne les croyons plus. Voilà une pratique qui peut tout changer. Bien sûr, chacun est libre de s’en servir ou non. Vous voulez aller plus loin? Mon coaching et mon livre le Manuel du Génie peuvent vous aider. Merci de partager et douce journée!