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Le 2 octobre 2024

VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR

La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de la souffrance. Avez-vous déjà remarqué combien c’est blessant de croire qu’on n’a pas eu ce qu’on aurait dû avoir? Cette version idéale qu’on n’a pas connue nous fait souvent bien plus de mal que toute version réelle qu’on a vécue.

 

Vous trouvez que c’est loin d’être évident? Comme je vous comprends!

 

C’est pareil pour moi. Je reconnais tout le courage et la réflexion que ça prend pour voir clairement comment on se fait du mal et qu’on se fait vivre l’enfer, chaque fois qu’on croit des pensées qui comparent ce qu’on a vécu dans la réalité à ce qu’on aurait dû vivre et qu’on n’a pas vécu dans leur monde idéal.

 

Une chance qu’une prise de conscience suffit pour crier à l’évidence!

 

Avec sa permission, voici l’expérience de ma cliente. Ce jour-là, on coachait cette pensée blessante: «J’ai eu une mère froide et autoritaire. J’aurais tant voulu avoir une mère douce et chaleureuse. Toute ma vie, j’ai manqué de douceur et de chaleur à cause d’elle.»


Après avoir fait le tour du sujet, voici la conclusion. Tout doucement, j’ai posé à ma courageuse coachée cette épineuse question: «Quelle mère t’a fait le plus de mal? La mère réelle que tu as eue ou la mère idéale que tu n’as pas eue?»


Silence au bout du fil. Soudain, j’ai sursauté de bonheur en l’entendant rire de bon cœur et me dire: «Oh mon Dieu! Dodo, c’est tellement évident! Ce n’est pas la mère que j’ai eue qui me fait mal. C’est la mère que je n’ai pas eue!»

 

Ravie de sa découverte, elle a poursuivi: «Ayoye! Je le vois. Je fais la même chose avec le conjoint que je n’ai pas, l’emploi que je n’ai pas, le corps que je n’ai pas, les talents que je n’ai pas, les amis que je n’ai pas, l’argent que je n’ai pas, les clients que je n’ai pas. Wow! La liste n’a pas de fin!»

 

Le sourire dans la voix, je lui ai dit: «Oui! C’est exactement ça! Les pensées stressantes vivent dans un monde qui n’existe pas. La souffrance est finie, quand on en prend conscience.» Voyez-vous à quel point la comparaison entre ce qui existe et ce qui n’existe pas peut nous fait mal, quand on la croit?

 

Pourquoi s’en vouloir? Personne ne nous a dit qu’on n’était pas obligés de croire leurs histoires. Une fois qu’on le sait, on peut les remettre en question, cesser de les croire et ne plus se blesser par la même occasion. Et quand on l’oublie, parce qu’on va l’oublier, on peut compter sur la souffrance pour nous le rappeler.

 

C’est vrai. On peut décroire ce qu’on a cru. Ce beau travail d’amour nous permet de se sentir bien en ce moment avec la personne qu’on est, le corps qu’on a, la vie qu’on vit, le monde qu’on côtoie. Et ça ne veut pas dire de ne pas rêver grand. Au contraire! On est ici et maintenant pour vivre le paradis sur terre.

 

L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres, mon blogue et moi sommes là pour vous. Vous aimez ce que vous avez lu? Merci tellement de partager votre point de vue et continuons de pratiquer la pensée consciente!

(https://www.dominiqueallaire.com/boutique)

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