❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤
La pensée d’aujourd’hui nous rappelle la véritable cause de beaucoup de malentendus qui nous blessent. Ce sont les pensées blessantes que nous avons crues sans savoir qu’elles étaient sous-entendues. À l’image de ce charmant hibou passé maître dans l’art du camouflage, elles ont le don de se cacher entre les lignes de nos messages. Pour bien mettre en évidence leur façon géniale de nous berner, prenons un fait qui a l’air banal.
Nous envoyons un courriel à un ami. Une heure plus tard, nous n’avons pas reçu de réponse de sa part. Soudain, notre ventre se contracte. Notre pouls s’accélère. Innocemment, nous croyons que cela est dû à la pensée «Il ne m’a pas répondu.» Pourtant, nous savons qu’un fait est un fait. Il n’a aucune valeur en soi. Il prend seulement la couleur et le poids des pensées que l’on croit à son sujet. Ce sont elles qui le qualifient de bon ou de mauvais.
Mais alors d’où vient notre inconfort? Des pensées sous-entendues qui vivent dans notre imagination. Elles disent : «Il aurait dû répondre à mon courriel dès qu’il l’a reçu.» «S’il n’a pas répondu, ça veut dire que je ne suis pas important.» «Ça signifie que je ne suis rien à ses yeux.» Elles nous font douter d’un fait en lui prêtant de mauvaises intentions. Les émotions de peine et de colère que nous ressentons viennent de notre réaction aux pensées blessantes que nous croyons.
Comment nous en libérer? Imaginons que l’on écrit à la fin du courriel qu’on envoie à notre ami : «Si tu ne me réponds pas d’ici une heure, ça veut dire que je ne vaux rien à tes yeux.» Vous souriez? Tant mieux! Voir le ridicule d’une pensée nous aide à la dédramatiser et à bien nous entendre avec elle. Et l’on s'épargne aussi de nombreux malentendus. N’est-ce pas bon à savoir? Pour aller plus loin, mon coaching, le Manuel du Génie et moi sommes là pour vous. Merci de partager et continuons d’unir nos cœurs!
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