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Le 29 mai 2024


VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR

La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité qui peut tout changer. Sans les pensées blessantes et stressantes que nous croyons, est-ce possible de nous sentir blessés et stressés? Bien sûr que non! Afin de souffrir autant, nous avons absolument besoin de croire les histoires souffrantes qu’elles inventent.

 

Ces pensées sont la cause de notre souffrance. Dès qu’on les croit, on s’empêche d’être bien avec nous-même et de vivre la vie qui nous convient. Heureusement, on n’est pas obligés de les croire. On a le choix. On le découvre, lorsqu’on voit clairement l’endroit où elles se trouvent. Où ça?


Entre nous et la réalité. Elles sont toujours là. Entre vous et moi.

 

Les pensées blessantes et stressantes ressemblent vraiment à des lunettes fumées. On ne voit pas les faits tels qu’ils sont. On voit les faits qu’elles décrivent en mal et qualifient de mauvais. Parce qu’on croit les histoires blessantes et stressantes qu’elles créent à leur sujet, on en ressent les effets dans notre corps. Tant qu’on ignore ce fait, on est soumis à leurs méfaits.


Tout change, lorsqu’on en prend conscience. Prenons l’histoire que je vous ai racontée, le 17 avril dernier. Voici ce que j’ai aussi réalisé. Quand ma famille m’a dit que j’étais intolérante, j’ai eu beaucoup de peine. Je m’en voulais de ne pas avoir été une grande sœur à la hauteur. Je me sentais coupable. Et j’avais si peur d’être rejetée. Par bonheur, je connais maintenant la cause de mon malheur.

 

Non. Ce n’était pas mon comportement de sœur aînée. Ni celui de ma famille bien-aimée. Non. Ce n’était pas ce que nous avons dit, ni ce que nous avons fait. Ni ce que nous n’avons pas dit, ni ce que nous n’avons pas fait. Ce n’était pas la faute de qui que ce soit. Ni eux, ni moi. C’était la faute de qui, alors?


Même si je l’oublie encore, ma vision se clarifie aussitôt que je m’en souviens.

 

Ce sont les pensées qui veulent me faire croire que ma famille a agi avec violence en m’accusant d’intolérance. Quand je comprends que c’est le fait de croire l’histoire violente qu’elles inventent qui me fait sentir de la peine et de la violence, je peux cesser de la croire et d’en ressentir les effets violents.

 

Quand je comprends que je ne suis pas obligée d’être à la hauteur de je-ne-sais-trop-quoi, je ne ressens plus la douleur de ne pas être moi. Quand je comprends à quoi m’a servi la culpabilité, je me sens moins coupable et plus responsable de mes choix. Quand je comprends que chacun est libre, je n’ai plus peur du rejet.

 

Alors, mon histoire prend un sens bienveillant. Au fond, ma famille avait raison d’amener mon intolérance à ma conscience. J’avais vraiment besoin de développer la tolérance afin de savoir comment traiter avec bienveillance les pensées intolérantes que je côtoie chaque jour.

 

De toutes nos relations, la plus importante demeure celle que nous avons avec les pensées qui se trouvent entre nous et tout ce qui nous entoure. Comme c’est bon d’en prendre soin par amour pour nous! L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Vous aimez ce que vous avez lu? Merci tellement de partager et continuons de pratiquer la pensée consciente!

(https://www.dominiqueallaire.com/boutique)

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