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Le 26 novembre 2019


PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR

La pensée d’aujourd’hui nous rappelle que le fait de croire une pensée n’en fait pas une vérité… pour l’éternité! Nous sommes tous le génie de notre vie. Nous avons tous le pouvoir de changer d’avis. Oui. C’est vrai. Je ne dis pas que c’est facile. Je dis que c’est possible. Oui. C’est un fait. Nous pouvons cesser de croire une pensée, même si nous l’avons toujours crue. Y compris celles qui nous font voir le monde à l’envers et qui nous font vivre l’enfer.

Comment voir notre monde à l’endroit? Comment revenir au paradis? En guise de réponse, voici en résumé la remise en question de ma cliente avec son autorisation. La pensée qui la tourmentait disait «Il va trouver mieux ailleurs.» En jasant avec sa pensée, elle a réalisé que le «il» incluait son conjoint, ses parents, ses patrons, ses amis et elle-même aussi. Je lui ai demandé «Quand l’as-tu entendue pour la première fois?»

Elle l’ignorait. J’ai attendu. Silence au bout du fil. Puis, elle a répondu «C’est ma mère. J’avais six ans. Elle disait à mon père qu’il trouverait mieux qu’elle ailleurs. Elle croyait dur comme fer qu’il la trompait. Elle en était si convaincue, qu’elle a fini par le quitter. Mon père m’a dit qu’il a toujours été fidèle. Il avait beau lui répéter la vérité, elle ne l’a jamais cru. Il était triste, car il n’a jamais voulu se séparer. Oh! Oh là là…» J’ai murmuré «Que vois-tu?»

Secouée, elle m’a expliqué «Je vois que je suis en train de faire la même chose que ma mère. Sais-tu quoi? Je le fais partout! C’est fou! J’ai cru toute ma vie que les autres allaient trouver mieux que moi. Quand je le crois, ça me fâche. Je leur en veux. Je les rejette. Et je les abandonne. Je m’en vais. Je démissionne… en croyant que je vais trouver mieux ailleurs. Ce n’est pas eux que je maltraite. C’est moi que j’abandonne et que je rejette!»

J’ai poursuivi «Et si le mieux se trouvait ici en ce moment, ça changerait quoi pour toi?» Après un gros soupir, elle m’a avoué «J’arrêterais de m’en faire pour quelque chose qui n’est pas là. Je demande à l’autre d’être présent, tandis que je suis ailleurs avec mes pensées. Ce n’est pas l’autre qui me stresse. C’est la pensée stressante que je crois. Ça me fait vraiment du bien de le réaliser. Ce n’est pas automatique. Ça demande de la pratique.»

Ma cliente est tellement géniale. Vous l’êtes, vous aussi! Comme elle, vous et moi avons le génie et le courage de regarder dans les yeux les pensées qui nous enragent et nous rendent malheureux. C’est la joie qui nous attend, quand nous réalisons ce qui est vrai et bon pour nous. Nous avons réellement tout pour y arriver. Vous le croyez? Vous voulez en parler? Mon coaching et mon livre le Manuel du Génie sont là pour vous. Merci de partager et douce journée!

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