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Le 2 avril 2025

  • Photo du rédacteur: Dominique Allaire❤
    Dominique Allaire❤
  • 2 avr.
  • 2 min de lecture

VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR

La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos des autres. Pourquoi c’est si facile de voir les travers de notre entourage et si difficile de voir les nôtres? Parce qu’on a l’habitude de regarder davantage ce qui se passe à l’extérieur, derrière le volant de notre réalité, que dans le rétroviseur de notre passé.

 

Peu importe les détours qu’on prend pour fuir ce qui nous fait souffrir, on décide un beau jour de s’arrêter sur le bord du chemin pour faire le point.

 

C’était l’intention de ma cliente. Avec sa permission, voici un résumé de sa révélation. En congé à cause d’un conflit avec son employeur, elle était sur le point de retourner travailler dans un secteur différent de l’entreprise. Tout en douceur, nous avons examiné deux scénarios qui lui faisaient peur.

 

D’abord, elle s’imaginait rentrer au bureau en portant sur le front une pancarte avec le mot «incompétente» en majuscules. Tout-de-go, je lui ai demandé : «C’est vrai? Tu vas vraiment porter une pancarte sur ton front?» Elle s’est écrié en riant : «Non, voyons! C’est trop ridicule!»

 

Ensuite, elle s’imaginait mal réagir, si elle croisait par hasard l’ancien patron qui avait porté plainte à son sujet. Elle aurait tant voulu qu’il la trouve compétente et qu’il soit conscient de tout le mal qu’il lui avait fait.

 

Ma brave cliente m’a expliqué que son patron avait qualifié de grave l’erreur qu’elle avait commise, alors qu’elle-même était persuadée qu’elle n’avait rien fait de mal. Il voulait tant qu’elle soit d’accord et qu’elle avoue son tort.

 

La remerciant pour ses explications, j’ai poursuivi doucement : «Dis-moi, ma chérie d’amour, où est-ce que tu fais pareil comme lui?» Comme elle ne trouvait rien, je lui ai proposé de l’aider. «Oui, Dodo!»

 

Lentement, j’ai repris ses paroles : «Si j’ai bien entendu, ton patron voulait que tu sois consciente de tout le mal que tu avais fait et, toi, tu veux qu’il soit conscient de tout le mal qu’il t’a fait. Dis-moi, en ce moment, quelle personne a vraiment besoin d’être consciente?»

 

En soupirant de joie, elle m’a déclaré : «C’est moi! J’ai besoin d’être consciente du mal que je me fais, quand je me crois incompétente. Pas lui. Moi. J’ai compris. Wow! Ça fait du bien de le voir. C’est ça, l’effet miroir?»

 

Ravie, j’ai répondu : «Oui! C’est comme ça qu’on se réveille à la bonté de la réalité. Comment te sens-tu?» Elle s’est exclamée : «Je me sens soulagée et prête à me faire confiance.» Aux dernières nouvelles, son retour au travail s’est déroulé dans le calme et la sérénité.

 

Les autres sont autant de miroirs dans lesquels nous pouvons voir notre façon de penser et de se comporter. Nous développons ainsi la conscience de nos besoins et la compétence d’en prendre soin.

 

Réveillés cette douce réalité, nous poursuivons notre parcours, l’esprit serein et le cœur léger, jusqu’au prochain détour.

 

L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Vous aimez ce que vous avez lu? Merci tellement de partager votre point de vue et continuons de pratiquer la pensée consciente!

NOUVEAU❤Écoutez-moi vous la lire dans le balaDodo de ma chaîne Youtube! (https://www.youtube.com/channel/UCwBAk1hOCWTdQd3XuCs5bGQ)

 
 
 

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