Le 28 mai 2025
- Dominique Allaire❤
- 27 mai
- 3 min de lecture

❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤
La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de la violence. Avez-vous déjà cru que les gens se porteraient mieux, si les autres cessaient d’être violents avec eux? Si, comme moi, cette croyance vous fait sentir dans vos petits souliers, sachez que vous pouvez être en pantoufles où que vous soyez.
Bien sûr, on prend soin de ce qui nous blesse, quand le confort nous intéresse!
Je me souviens du jour où j’ai cessé de porter des talons hauts au bureau. Après dix ans à me blesser les pieds au nom de mon apparence, j’ai mis fin à ma souffrance en adoptant des souliers plats hyper confort. Et quand on m’a offert le travail à la maison, j’ai poursuivi ma carrière dans des pantoufles extra cocon.
Une fois que j’ai su comment être bien avec mes vêtements, j’ai voulu savoir comment être bien avec mes jugements. La hâte de retourner dans mes pantoufles m’a encouragée à dévêtir les apparences afin de découvrir où se camoufle la violence.
Où l’ai-je trouvée, d’après vous? Eh oui… Dans nos pensées violentes.
Aussitôt qu’on croit des pensées qui décrivent violemment un fait, on ressent instantanément les effets violents dans notre corps. Et ça ne veut pas dire que l’autre a mal ou bien agi, ni que ses gestes sont sans conséquences. Ça veut juste dire qu’on se fait vivre l’expérience de la violence sans en avoir conscience.
Prenons la brillante réalisation qu’a faite ma cliente au sujet du comportement apparemment violent qu’a eu son conjoint. En rentrant du travail, il s’est pris les pieds dans les pantoufles de sa fille qui traînaient au milieu de l’entrée. Exaspéré, il les a lancées dans l’escalier qui menait à la chambre de celle-ci au sous-sol.
Après avoir exprimé sa déception, ma cliente a réfléchi à ce qui s’était passé et, surtout, à ce qui s’était pensé. D’un ton détendu, elle a conclu: «Ce qui me fait mal, c’est la violence avec laquelle il a lancé les pantoufles.» D’un ton un brin comique, je lui ai demandé: «Le lancer du poids aux Olympiques, est-ce violent pour toi?»
«Wow!» Son rire retentissant m’a secoué les tympans! D’une voix réjouie, elle m’a dit: «Dodo! Je l’ai vu! C’est tout le temps la façon dont je le pense! Ça m’empêche de goûter le bonheur. C’est la première fois que je vois le ridicule et que j’en ris. Ça fait un bien énorme à mon cœur!»
Grâce à cette prise de conscience, ma coachée possédait désormais un point de référence concret pour mieux voir ce qui la sort de son confort et comment y retourner, chaque fois qu’elle veut préserver ses liens avec les gens qu’elle adore.
Voyez-vous ce qu’elle a vu?
Aussitôt qu’on a pris assez de recul, on peut voir le ridicule de l’histoire violente qu’on a crue. Au moment où l’on en rit, c’est la preuve qu’on a compris. Et mieux encore, qu’on est guéris. De retour dans le confort de nos pantoufles, on reconnaît alors l’effet libérateur de l’humour, le meilleur ami de l’amour.
L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Si vous le cœur vous en dit, écoutez-moi vous la lire dans mon balaDodo❤ https://www.youtube.com/playlist?list=PLtqT1WUJXTdoBGNlWyiZMAYdGKegoB1zA. Merci tellement de partager et continuons de pratiquer la pensée consciente!



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