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Le 22 octobre 2019


PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR

La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de la souffrance. L’avez-vous remarqué? Ce qu’on n’a pas nous stresse bien plus souvent que ce qu’on a. Vous et moi avons été conditionnés à nous torturer avec ce qui n’est pas là, plutôt qu’avec ce qui est là. Quel est donc ce charabia? On dirait du chinois! Mais non, voyons! Je veux parler du mal qu’on se fait, vous et moi, quand on croit des pensées qui comparent notre réalité à leur monde idéal.

Cette évidence a sauté aux yeux de ma cliente que je coachais, l’autre jour. C’est avec sa permission que je vous confie sa révélation. Pour bien en profiter, pensez à une personne ou chose que vous n’avez pas et que vous aimeriez tant avoir. La pensée qui faisait souffrir ma cliente disait «Ma mère était froide et autoritaire. J’aurais tellement aimé avoir une mère douce et chaleureuse. Toute ma vie, j’ai manqué de douceur et de chaleur à cause d’elle.»

Une heure de conversation plus tard, voici la conclusion. Tout doucement, j’ai demandé à la pensée de ma cliente : «Ma chérie, quelle mère t’a fait le plus de mal? La mère réelle que tu as eue ou la mère idéale que tu n’as pas eue?» Silence au bout du fil. Puis, une cascade de rires joyeux m’a rempli le tympan. Elle a dit «Oh mon Dieu! C’est évident! Ce n’est pas la mère que j’ai eue qui me fait mal. C’est la mère que je n’ai jamais eue!»

Ravie de sa découverte, elle a poursuivi «Wow! Je le vois bien! Je me fais mal avec le conjoint que je n’ai pas, l’emploi que je n’ai pas, le corps que je n’ai pas, les compétences que je n’ai pas, les amis que je n’ai pas, l’argent que je n’ai pas, les clients que je n’ai pas. Wow! La liste est infinie!» Souriant à mon tour, je lui ai dit «Oui! Les pensées souffrantes vivent dans le monde qu’elles inventent. La souffrance prend fin, quand on en prend conscience.

Avez-vous saisi la nuance? Voyez-vous comment les pensées créent le manque? Ce n’est pas notre faute. Nous sommes tous innocents. Leur petit jeu est tout, sauf évident. Pour ma part, j’aime croire que nous pouvons être le parent doux et chaleureux dont nos pensées ont toujours rêvé. Nous avons ce pouvoir en tant que conscience incarnée. Nous savons tous voir la différence entre le réel et l’imaginé. Et s’il y a confusion, la souffrance est là pour nous aider.

Si vous êtes comme moi, vous prenez de plus en plus goût à écouter les pensées vous parler de leur monde qui n’a rien à voir avec la réalité. Vous en arrivez même à les trouver amusantes avec les histoires qu’elles inventent. Après tout, elles ne sont rien sans nous. Il nous revient de les croire… ou pas! Vous voulez aller plus loin? Mon coaching et mon livre le Manuel du Génie peuvent vous aider. Merci de partager et douce journée!

 

© 2004-2025 DOMINIQUE ALLAIRE

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