❤ VOTRE EXTRAIT DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤

❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤ La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de l’attachement. Dépend-il vraiment des personnes et des objets? Même si le contraire peut nous sembler vrai, nous ne sommes pas attachés à ce qui nous est cher, mais bien aux histoires que nous croyons à leur sujet. Lorsqu’on vit une situation mettant en cause quelqu’un ou quelque chose, les pensées s’empressent de lui trouver une signification. Elles se servent de nos souvenirs passés pour inventer une histoire stressante ou relaxante, blessante ou aimante. On peut la croire ou pas. Quand on ne la croit pas, elle passe son chemin. Quand on la croit, elle devient un lien. Elle se rattache à la personne ou à l’objet en question. Et nous, on s’y attache par la même occasion. La force de notre croyance intensifie notre attachement et influence notre comportement. Voyez-vous à quel point nos croyances ont de l’importance? Prenons les cœurs. À l’été 1979, une amie m’avait offert un porte-clés en forme de cœur. Alors enceinte de ma fille adorée, j’avais eu cette pensée : «Je vais m’entourer d’objets en cœur pour me rappeler que l’amour est partout.» Me voyant les collectionner, une amie m’avait alors surnommée Dodo les Cœurs. Coup de cœur instantané! Depuis ce jour, ma croyance est toujours vivante et bien présente dans tout ce que je crée. Je me souviens lorsque j’ai lancé mon site Web professionnel, il y a quinze ans. En voyant mes cœurs, une amie fidèle avait peur que les gens se moquent de moi. Je l’avais rassurée en lui disant qu’ils avaient droit à leur opinion. Voyez-vous ce que je veux dire? Je ne tiens pas à cette forme d’objet. Je tiens à la belle histoire d’amour que j’entretiens à son sujet. Je crois de tout mon cœur que l’amour est ce que nous sommes. Bien sûr, nous l’oublions chaque fois que nous croyons des pensées qui nous blessent et qui nous stressent. Il en va de même avec les gens. On n’est pas attachés à un être cher, mais bien aux histoires qu’on croit à son sujet. Quand on le regarde, que voit-on? On ne voit pas un corps de chair, mais bien une collection de situations et d’émotions aimantes qui sont rattachées à l’objet de notre affection. Évidemment, le contraire est tout aussi vrai. On aime très fort une personne. On croit en notre relation. Un jour, elle nous surprend en faisant quelque chose qui nous déplaît. En moins de temps qu’il n’en faut pour crier ciseau, une histoire de déception, de peine et de trahison apparaît. Allons-nous la croire? Oui? Non? Tout dépend de ce que nous voulons. Car nous avons le pouvoir de repenser à tout moment notre histoire, surtout quand nous y tenons très fort. J’en conviens, c’est du sport. Pourtant, nous valons bien tout ce soin. Si nous tenons autant à nos belles histoires d’amour, c’est surtout parce qu’elles nous permettent d’aimer les personnes et les objets qui nous entourent, dans le secret de notre cœur et le confort de notre foyer, sans peur ni culpabilité. L’expérience vous tente? Vous voulez aller plus loin? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Vous aimez ce que vous avez lu? Merci tellement de partager et continuons de pratiquer la pensée consciente! (https://www.dominiqueallaire.com/boutique)

❤ VOTRE EXTRAIT DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤

❤ VOTRE EXTRAIT DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤

❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤ La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de la polarité. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi un fait nous paraît négatif? On le perçoit ainsi, parce qu’on voit seulement ce qui le rend mauvais. Notre point de vue n’a rien de positif. Il le devient lorsqu’on reconnaît ce qu’il a de bon aussi. Puisque la réalité est sans polarité, qu’est-ce qui la polarise? Ce sont les pensées. Étant donné qu’elles sont composées de deux pôles opposés, ce sont elles qui attribuent une polarité négative et positive à un fait. Comme ça nous fait sentir mal de croire celles qui jugent en mal, ça nous fait du bien d’en prendre soin. Prenons l’exemple du gros bouleau qui vivait dans ma cour. Je l’adorais. Pendant des années, il s’étalait dans toutes les directions comme un énorme bouquet de fleurs. Puis, il a commencé à dépérir. Le cœur me serrait chaque fois que j’allais m’asseoir sur la galerie. J’avais tellement de peine. Un matin de printemps, j’en ai eu assez de souffrir quand je le regardais. J’ai décidé de trouver le bon côté, car je voulais le voir autrement. Pour commencer, j’ai écrit les pensées qui me faisaient mal. «Mon bouleau est mourant. J’aurais dû m’en occuper. Il va laisser un trou géant.» Voici un résumé de ma réflexion. D’abord, il ne devrait pas mourir. Le bon côté, c’est quoi? Il n’est pas mort. Il est... encore là. Ensuite, j’aurais dû m’en occuper. Le bon côté, c’est quoi? Je m’en suis occupée du mieux que j’ai pu jusqu’ici. Et sa vie... n’est pas finie. Enfin, il va laisser un trou géant. Le bon côté, c’est quoi? Je vais planter un autre arbre. Ce que je ne peux pas faire pour le moment, parce qu’il est... toujours vivant! En un éclair, je voyais clair. Comme une fleur qui étale ses pétales, mon esprit s’est ouvert. Toute sensation de mal m’a quittée. Mon beau bouleau était bel et bien là. Et moi, j’allais célébrer ce fait. J’allais honorer sa vie jusqu’au bout. Promesse entendue! Promesse tenue! Chaque fois que je le voyais, je lui disais bonjour et combien je l’aimais. Chaque fois que je ramassais ses branches mortes, je lui disais merci pour toutes les années que nous avons vécues ensemble jusqu’ici. Chaque fois que je voyais des oiseaux se poser sur ses branches, mon cœur gazouillait de bonheur. En résumé, j’avais réalisé l’ampleur de mon ingratitude. C'est pourquoi j’ai décidé d’avoir de la gratitude pour mon cher bouleau jusqu’à la fin. Et c’est ce que j’ai fait. Je l’ai accompagné jusqu’au jour où ils sont venus le couper. Je lui ai dit merci pour sa vie, pour l’espace qu’il a laissé et pour l’arbre qui l’a remplacé. Sa mort me paraissait négative jusqu’au moment où j’ai compris à quel point c’était positif de célébrer sa vie. D’ailleurs, il n’est pas mort. Il vit toujours dans mon cœur, puisque je vous en parle avec tout l’amour que j’ai pour lui. Voir le côté positif d’un fait qui nous paraît négatif, c’est du gros boulot. Pourtant, la réflexion en vaut vraiment le coup, puisqu’elle nous fait un bien fou! L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Vous aimez ce que vous avez lu? Merci tellement de partager et continuons de pratiquer la pensée consciente! (https://www.dominiqueallaire.com/boutique)

❤ EXTRAIT POUR VOUS AVEC TOUT MON AMOUR ❤

❤ EXTRAIT POUR VOUS AVEC TOUT MON AMOUR ❤

❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤ Bonjour mes amis d’amour! La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de notre bien-être. Même quand on est étendus au soleil et qu’on ne fait rien, ça ne veut pas dire qu’on est détendus et qu’on se sent bien. Qu’est-ce qui nous empêche de savourer le moment? C’est ce qui se pense entre nos deux oreilles, évidemment! Ce sont les pensées! Elles interprètent, jugent et commentent tout ce qu’on expérimente durant la journée. Puisqu’elles se trouvent entre nous et la réalité, j’aime les comparer à des lunettes fumées. Tels des filtres teintés du plus pâle au plus foncé, les pensées colorent les personnes, les situations et les choses. Elles sont la cause de notre vision déformée et de nos réactions biaisées. En résumé, on ne voit pas la réalité. On voit les pensées qu’on croit à propos de la réalité. Bien sûr, quand elles nous racontent de belles histoires, on se sent bien. Pourquoi? Parce qu’elles correspondent à la nature de notre cœur, qui est le bien-être, la gratitude et le bonheur. Pensons à une personne que nous aimons. Quand on croit des pensées qui la jugent en bien, on se sent bien, comblés et heureux, parce que leurs jugements correspondent à notre nature. Par contre, quand on croit des pensées qui la jugent en mal, on se sent mal, ingrats et malheureux, parce que leurs jugements ne correspondent pas à notre nature. Voyez-vous ce que ça signifie? Le bien-être est la nature de notre cœur. C’est naturel de se sentir bien. Le mal-être, c’est-à-dire la sensation d’être mal, vient de croire des pensées qui jugent en mal ce qu’on aime. Comment peut-on être bien au quotidien? On commence par écouter les pensées qui parlent tout haut dans notre cerveau. Une fois qu’on a pris conscience de leur présence, on peut voir la distance qui se trouve entre elles et nous. Alors, on réalise une chose merveilleuse à propos des jugements qu’on entend. Ils sont créés par des pensées en train de juger. Comment fait-on pour cesser de croire des pensées qui nous font sentir mal? D'abord, on retranscrit leur histoire. Puis, on réfléchit avec elles. On les examine. On les remet en question. On les fait douter d’elles-mêmes. On comprend ce qu’elles voulaient nous dire. Une fois comprises, elles se neutralisent. Elles ne signifient plus rien. La sensation de mal s’évapore. Alors, on se sent bien. Bien s’entendre avec nos pensées nous permet d’être bien partout où l’on est. Qu’il fasse beau ou mauvais à l’extérieur, il fait toujours soleil dans notre cœur. L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Vous aimez ce que vous avez lu? Merci tellement de partager et continuons de pratiquer la pensée consciente!

❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤ La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de notre corps. Pourquoi ça nous fait si mal de croire qu’il n’est pas normal? Qu’est-ce ça prendrait pour le voir tel qu’il est? En fait, notre corps est tout-à-fait normal. Sans les pensées qui en disent du mal, nous voyons à quel point il est parfait. Comme vous le savez, il y a toujours une pensée entre nous et la réalité. Ça veut dire que ce qu’on voit dans le miroir, ce n’est pas notre corps. Ce sont bel et bien les pensées qu’on croit à son sujet. Pour ma part, j’ai commencé à me sentir mal dans mon corps à l’adolescence. Par exemple, je me souviens combien j’avais eu de la peine, le jour où ma sœur avait comparé ma grosseur à celle d’une vache. Quelques années plus tard, j’ai pu en voir une pour de vrai en visitant une ferme. Avez-vous déjà rencontré une vache de très près? En tout cas, moi, ça m’a fait tout un effet. J’étais impressionnée par son imposante stature, ses grands yeux, ses longs cils et son regard surtout! Elle me fixait d’un œil si doux que mon cœur est devenu pour elle mou comme un caramel. Que s’était-il passé? Dès que j’ai vu sa perfection, je n’avais plus la même opinion. Lui ressembler avait cessé de me blesser. En d’autres mots, on voit bien qu’il n’y a rien de mal chez cet animal, sans la pensée qui prétend qu’il n’est pas normal. En fait, il est parfait comme il est. Hélas, ce moment de bienveillance n’a pas fait long feu. Pendant les décennies qui ont suivi, j’ai cru les pires jugements au sujet de mon corps. Et je n’avais besoin de personne pour le critiquer, le blâmer, l’humilier, le maltraiter, le surmener, l’affamer, le gaver et lui faire violence. Puis, ma fille transgenre est arrivée dans ma vie. Grâce aux hormones, ses traits, ses courbes et sa peau se sont adoucies. Elle qui avait tant détesté son physique avant, elle l’adorait dorénavant. Et moi, j’adorais jouer à la marraine-fée en l’accompagnant dans les boutiques et chez l’esthéticienne. Moi qui ai toujours cru que ma fille adorée était parfaite, ça me faisait chaud au cœur de la voir aimer son corps au complet. Inspirée par son ardeur, j’ai décidé d’en faire tout autant à mon sujet. Depuis ce temps, je prends soin des pensées qui me parlent d’imperfections. Quand j’en entends une, je m’applique à comprendre son utilité et j’apprends à l’aimer. C’est ainsi que mon amour pour mon corps grandit chaque jour. C’est un fait. Notre corps est absolument parfait. La seule chose qui nous empêche de le voir, ce sont les pensées qu’on peut croire. Aussitôt qu’on les remet en question, on ne croit plus ce qu’on croyait. Alors, notre perfection apparaît. L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Merci de tellement partager et amoureuse journée! (Livres https://www.dominiqueallaire.com/boutique)