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661 éléments trouvés pour «  »

  • Le 1er mai 2024

    ❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤ Bonjour mes amis d’amour! La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de notre bien-être. Même quand on est étendus au soleil et qu’on ne fait rien, ça ne veut pas dire qu’on est détendus et qu’on se sent bien. Qu’est-ce qui nous empêche de savourer le moment? C’est ce qui se pense entre nos deux oreilles, évidemment! Ce sont les pensées! Elles interprètent, jugent et commentent tout ce qu’on expérimente durant la journée. Puisqu’elles se trouvent entre nous et la réalité, j’aime les comparer à des lunettes fumées. Tels des filtres teintés du plus pâle au plus foncé, les pensées colorent les personnes, les situations et les choses. Elles sont la cause de notre vision déformée et de nos réactions biaisées. En résumé, on ne voit pas la réalité. On voit les pensées qu’on croit à propos de la réalité. Bien sûr, quand elles nous racontent de belles histoires, on se sent bien. Pourquoi? Parce qu’elles correspondent à la nature de notre cœur, qui est le bien-être, la gratitude et le bonheur. Pensons à une personne que nous aimons. Quand on croit des pensées qui la jugent en bien, on se sent bien, comblés et heureux, parce que leurs jugements correspondent à notre nature. Par contre, quand on croit des pensées qui la jugent en mal, on se sent mal, ingrats et malheureux, parce que leurs jugements ne correspondent pas à notre nature. Voyez-vous ce que ça signifie? Le bien-être est la nature de notre cœur. C’est naturel de se sentir bien. Le mal-être, c’est-à-dire la sensation d’être mal, vient de croire des pensées qui jugent en mal ce qu’on aime. Comment peut-on être bien au quotidien? On commence par écouter les pensées qui parlent tout haut dans notre cerveau. Une fois qu’on a pris conscience de leur présence, on peut voir la distance qui se trouve entre elles et nous. Alors, on réalise une chose merveilleuse à propos des jugements qu’on entend. Ils sont créés par des pensées en train de juger. Comment fait-on pour cesser de croire des pensées qui nous font sentir mal? D'abord, on retranscrit leur histoire. Puis, on réfléchit avec elles. On les examine. On les remet en question. On les fait douter d’elles-mêmes. On comprend ce qu’elles voulaient nous dire. Une fois comprises, elles se neutralisent. Elles ne signifient plus rien. La sensation de mal s’évapore. Alors, on se sent bien. Bien s’entendre avec nos pensées nous permet d’être bien partout où l’on est. Qu’il fasse beau ou mauvais à l’extérieur, il fait toujours soleil dans notre cœur. L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Vous aimez ce que vous avez lu? Merci tellement de partager et continuons de pratiquer la pensée consciente!

  • Le 24 avril 2024

    ❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤ La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de notre corps. Pourquoi ça nous fait si mal de croire qu’il n’est pas normal? Qu’est-ce ça prendrait pour le voir tel qu’il est? En fait, notre corps est tout-à-fait normal. Sans les pensées qui en disent du mal, nous voyons à quel point il est parfait. Comme vous le savez, il y a toujours une pensée entre nous et la réalité. Ça veut dire que ce qu’on voit dans le miroir, ce n’est pas notre corps. Ce sont bel et bien les pensées qu’on croit à son sujet. Pour ma part, j’ai commencé à me sentir mal dans mon corps à l’adolescence. Par exemple, je me souviens combien j’avais eu de la peine, le jour où ma sœur avait comparé ma grosseur à celle d’une vache. Quelques années plus tard, j’ai pu en voir une pour de vrai en visitant une ferme. Avez-vous déjà rencontré une vache de très près? En tout cas, moi, ça m’a fait tout un effet. J’étais impressionnée par son imposante stature, ses grands yeux, ses longs cils et son regard surtout! Elle me fixait d’un œil si doux que mon cœur est devenu pour elle mou comme un caramel. Que s’était-il passé? Dès que j’ai vu sa perfection, je n’avais plus la même opinion. Lui ressembler avait cessé de me blesser. En d’autres mots, on voit bien qu’il n’y a rien de mal chez cet animal, sans la pensée qui prétend qu’il n’est pas normal. En fait, il est parfait comme il est. Hélas, ce moment de bienveillance n’a pas fait long feu. Pendant les décennies qui ont suivi, j’ai cru les pires jugements au sujet de mon corps. Et je n’avais besoin de personne pour le critiquer, le blâmer, l’humilier, le maltraiter, le surmener, l’affamer, le gaver et lui faire violence. Puis, ma fille transgenre est arrivée dans ma vie. Grâce aux hormones, ses traits, ses courbes et sa peau se sont adoucies. Elle qui avait tant détesté son physique avant, elle l’adorait dorénavant. Et moi, j’adorais jouer à la marraine-fée en l’accompagnant dans les boutiques et chez l’esthéticienne. Moi qui ai toujours cru que ma fille adorée était parfaite, ça me faisait chaud au cœur de la voir aimer son corps au complet. Inspirée par son ardeur, j’ai décidé d’en faire tout autant à mon sujet. Depuis ce temps, je prends soin des pensées qui me parlent d’imperfections. Quand j’en entends une, je m’applique à comprendre son utilité et j’apprends à l’aimer. C’est ainsi que mon amour pour mon corps grandit chaque jour. C’est un fait. Notre corps est absolument parfait. La seule chose qui nous empêche de le voir, ce sont les pensées qu’on peut croire. Aussitôt qu’on les remet en question, on ne croit plus ce qu’on croyait. Alors, notre perfection apparaît. L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Merci de tellement partager et amoureuse journée! (Livres https://www.dominiqueallaire.com/boutique)

  • Le 17 avril 2024

    ❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤ La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de la critique. Est-ce que ce genre de commentaires vous blesse? Ressentez-vous de la colère ou de la tristesse? Si ça peut vous rassurer, sachez que vous n’êtes pas seuls. J’ai réagi de cette manière presque toute ma vie. En matière d’apprentissage, quand le clou est prêt, le marteau apparaît. Afin que je retienne bien la leçon, la vie l’a enfoncée d’un grand coup jusqu’au fond. C’était un soir de fête, il y a vingt-cinq ans. Debout dans la cuisine avec mes sœurs et mon frère, ils se sont soudain tournés vers moi. À tour de rôle, ils m’ont répété d’une même voix puissante : «T’es intolérante!» Quoi? J’étais estomaquée! Ces mots répétés à l’unisson me frappaient de plein fouet. Meurtrie et confuse, j’ai pu me resaisir juste assez pour leur offrir toutes mes excuses. Puis, ils sont passés au salon, comme si de rien n’était. Plus tard, je suis rentrée à la maison, tourmentée par un million de questions. Moi, intolérante? Qu’est-ce que j’avais bien pu faire pour qu’on me critique de cette manière? Ce soir-là, je croyais le contraire. Je m’en voulais, justement, d’avoir été trop tolérante toute ma vie avec une personne en particulier. J’étais prête à ne plus rien tolérer de sa part. Mon choc venait du fait que les rôles étaient inversés. C’était ma famille qui ne pouvait plus me tolérer. Dans l’océan de sanglots que j’ai longtemps versé, j’étais déterminée à trouver le cadeau de ce fardeau apparent. Au fil de mes réflexions, mes larmes de désarroi sont devenues des larmes de joie. Telle l’huître qui enveloppe le grain de sable pour former une perle, j’ai enveloppé ma souffrance de bienveillance pour la transformer en leçon d’amour. Ma gratitude pour ma famille chérie est infinie. Voici en gros ce que j’ai compris à propos de l’intolérance. Cette pensée a deux côtés. Je suis tolérante dans certains cas ET je suis intolérante dans d’autres cas. Elle s’applique à moi et à toutes les personnes que je côtoie. Quand les gens me font un commentaire que je serais tentée de prendre de travers, je m’applique à ne pas l’interpréter comme une critique. Ils ont droit à leur opinion. Je suis d’accord avec eux, car je peux trouver des exemples. Les pensées intolérantes ont l’avantage de nous montrer ce que nous ne pouvons plus tolérer. Grâce à l’inconfort qu’elles nous causent, elles nous encouragent à identifier nos limites et nos besoins afin de pouvoir les respecter et les combler sans peur ni culpabilité. Cette pratique quotidienne vous tente? Alors, faites-en l’expérience! Et vous verrez combien ça relaxe et ça libère de cueillir les perles de sagesse que ces pensées contiennent. Vous voulez allez plus loin? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Merci de tellement partager et amoureuse journée! (Livres https://www.dominiqueallaire.com/boutique)

  • Le 10 avril 2024

    ❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤ La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos de la comparaison. Qu’est-ce qui nous fait mal? On a beau l’avoir toujours cru, ce n’est pas ce qu’on a vécu. Tenez-vous bien! C’est plutôt le fait de comparer ce qu’on a bel et bien vécu avec une version idéale qu’on aurait dû vivre et qu’on n’a pas vécue. En d’autres mots, c’est souffrant de préférer ce qui n’est pas là à ce qui est là. Je parle en connaissance de cause. Regardez cette image! C’est tout-à-fait moi, l’année où je suis tombée éperduement amoureuse d’un beau mirage. Je me revois, totalement perdue dans mon univers virtuel, les yeux rivés sur mon idéal de vie à deux. On s’était rencontrés, il y a vingt ans environ. Pour lui, je n’étais qu’une amie avec un coquin avantage. Pour moi, il était l’amour de ma vie… et bien davantage! Lorsqu’il était de passage dans ma région pour son travail, il faisait parfois une escale à la maison. Je me souviens de ce matin d’octobre. J’avais eu l’idée d'écrire en détails ma vie de rêve à deux. Le midi-même, il s’est invité chez moi pour dîner. Fou de joie, il m’a annoncé sa grande nouvelle. Il était en amour et allait bientôt s’installer avec sa belle. Cachant ma douleur, je lui ai souri en lui souhaitant le meilleur. Après son départ, je me suis effondrée en plein cauchemar. Des années de souffrance, de formations, de prises de conscience et de réflexion m’ont permis de comprendre ce qui suit. Durant ma relation avec lui, je ne l’ai pas vu tel qu’il était. Je l’ai vu tel que je voulais qu’il soit. Je me projetais, chaque jour, dans une vie idéale où l’on allait vivre ensemble et s’aimer jusqu’à la fin des temps. Quelle façon de penser me fait sentir mal? J’ai mal, quand je compare la vie idéale que j’aurais dû vivre avec la vie réelle que j’ai vécue. Je souffre, quand je crois que ma vie serait meilleure en ce moment, si je n’avais pas ce que j’ai et si j’avais ce que je n’ai pas. Je me fais vivre l’enfer, quand que je préfère ce qui aurait dû idéalement arriver à ce qui est réellement arrivé. Voilà ma conclusion. Comparer ce qui est avec ce qui devrait être nous sépare de la réalité. Nous basculons aussitôt dans une dimension virtuelle où la fiction nous paraît plus réelle que les faits. Pourtant, comme nous montre la photo, nous sommes assis confortablement dans la bonté du présent. Sans la comparaison, nous retrouvons la raison. La mémoire nous revient. Chaque fois que nous observons ce qui est, sans le comparer à ce qui devrait, aurait dû ou serait mieux, nous voyons la réalité avec d’autres yeux. N’est-ce pas merveilleux? L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Merci de tellement partager et amoureuse journée! (Livres https://www.dominiqueallaire.com/boutique)

  • Le 2 avril 2024

    ❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤ La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos du pardon. Qu’est-ce que ça change de pardonner? En pardonnant, on ne change pas ce qui s’est passé. Car ce qui est fait est fait. Toutefois, quand on pardonne, on se donne la permission de changer comment on l’a pensé. Comment fait-on pour transformer la pensée coupable qui punit en pensée responsable qui guérit? Pour ma part, quand je crois avoir commis une faute, j’ai besoin d’avoir un entretien avec les pensées qui me jugent en mal. J’aime m’asseoir confortablement avec stylo et cahier afin de jaser avec elles en privé. Voici un très bref résumé de ce qui peut durer des heures. D’abord, j’écris les faits. Par exemple: «J’ai exprimé mon avis et l’autre a fortement réagi.» Puis, j’écris les pensées qui me blâment d’avoir fait ce que j’ai fait. Par exemple: «Je n’aurais pas dû dire ce que j’ai dit. J’aurais pu faire mieux.» Ensuite, je les relis, une à la fois. Je peux même le faire à haute voix pour les voir plus clairement en dehors de moi. Je jase tendrement avec elles, comme je le fais avec des personnes qui me sont très chères (au fond, c’est ce qu’elles sont!). Doucement, je remets en question leurs jugements. «Comment est-ce possible de ne pas avoir dit ce que j’ai dit, une fois que c’est dit? Comment aurais-je pu faire mieux que ce que j’ai fait, une fois que c’est fait?» Et j’écris mes réponses: «C’est vrai. Je ne peux pas défaire ce qui est fait, ni prédire comment l’autre va réagir. Je vais lui demander de me pardonner et de me dire comment je veux faire mieux.» Une fois notre responsabilité pleinement assumée, nous sentons la lourdeur de la faute s’évaporer doucement, comme neige au soleil printanier. C’est la métamorphose que le pardon nous propose, lorsque nous conversons avec nos précieuses pensées. L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres et moi sommes là pour vous. Merci de partager et lumineuse journée! (Livres https://www.dominiqueallaire.com/boutique)

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